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Par leblogfeerique, le 25.08.2017
angelilie
mer ci d'être venue le voir.je devrait pouvoir publier d'ici peu (après les examens je pense). http
Par leblogfeerique, le 15.05.2017
beau blog. un plaisir de venir flâner sur vos pages. une belle découverte et un enchantement.n 'hésitez pas à
Par angelilie, le 27.04.2017
beau blog. un plaisir de venir flâner sur vos pages. une belle découverte et un enchantement.n 'hésitez pas à
Par angelilie, le 07.04.2017
· Des liens intéressants
· La poupée
· Un petit bonjour
· Chapitre 1
· Non-conformité
· Chapitre 3
· Retour aux sources
· Chapitre 2
Date de création : 02.03.2017
Dernière mise à jour :
01.02.2018
13 articles
Les arbres aux branches agitées,
Tremblent dans les prés,
Recouverts de neige blanche au parfum salé,
Regardant autour d'eux, d'un air désemparés,
L'eau douce mais sans saveur,
Apporte paix et douceur,
Et tout cela en faveur d'un cœur,
Plein de gaieté et d'ardeur.
Certes vous pensez que vos yeux vous jouent des tours,
Détrompez-vous, faîtes demi-tour,
N'avancez pas le temps, n'avancez pas les jours,
Reculez car je vous le dis,
L'hiver est bien trop court.
LEGEAI Solenn
Toi qui es si proche mais qu'on ne peut voir, m'entends tu ?
Ton nom est gravé dans chacune de nos mémoires, mais il est oublié.
Les enfants l'apprennent, le comprennent, puis l'oublient.
C'est le gain d'une vie, de Ta vie.
Si tu es encore là, suis-je le seul être à t'entendre, à te comprendre ?
Je ne pense pas, tu vis.
Le monde t'entend et te comprend, mais il oublie...
...Vite. Trop vite.
Tourne.
Tourne, ronde infernale de tous les âges !
Il se rappelle, oublie, se rappelle à nouveau et oublie, encore...
Le monde ; amas de mémoires qu'on ne peut définir que par un mot : Tourne !!!
Quel est ton nom ? Qui es-tu ?
De simples questions auxquelles je ne saurai répondre.
Moi aussi, je t'oublie. Je ne fais pas exception.
Il n'y a pas d'exception. Je fais partie du monde.
J'oublie, me rappelle, oublie... Ce nom !
Ce nom que tu portes résonne. Il part et revient.
Je me rappelle !
Tu portes ce nom si souvent oublié. Ce nom synonyme de liberté..
... Ton nom, HUMANITE.
LEGEAI Solenn
Le soir,
Dans le froid du dimanche,
Etendait son espoir,
A travers la lune blanche.
Les étoiles,
Illuminant prés et champs,
Formaient une toile,
Aux filaments d'argent.
La lune,
Les contours de couleur d'or,
Brillait au-dessus des dunes,
En éloignant la mort.
Et voilà je vous ai tout dit,
La nuit que je vois sur mon paysage,
Ce sont les contes des mille et une nuit,
Eclairant encore mon visage.
LEGEAI Solenn
Retour aux sources
Dans le cœur de Paris,
Dans les égouts de la ville,
Un petit être abandonné,
Cherche son chemin,
Il se dit qu’il,
Retournera chez lui demain.
Mais son cœur, lui, part en vrille,
Il ne faut pas se faire de bile,
En regardant sa laine souillée,
Il se dit qu’il ne vaut rien,
Il s’enfuit, cet espoir futile,
Il n’attend plus rien de demain.
Il continue à marcher,
De plus en plus fatigué,
Il ne veut que se reposer,
Personne pour lui dire d’avancer,
Seuls ses souvenirs pour consoler,
Un cœur attristé.
Quand tout espoir semblait perdu,
Que ses efforts semblaient vains,
Une lumière est survenue,
Mais il la regarde et la craint,
En s’approchant il s’aperçoit,
Que c’est une issue et il la voit.
A l’air libre il se retrouve,
Enfin l’espoir le recouvre,
Il va maintenant la retrouver,
Il connaît bien le quartier,
En arrivant devant la maison,
Il s’assoit sur le balcon.
Elle finira par le trouver,
Alors elle prendra dans ses bras,
L’œuvre qu’elle avait tricotée,
De bouts de laine par-ci par-là,
Deux boutons rouges pour qu’il la voit,
Un être était né de ses doigts.
Ça fait maintenant plusieurs années,
Et dire qu’elle a déménagé,
Dans une maison froide et humide,
Un peu étroite et un peu vide,
Avec pour seule compagnie,
Les fleurs qui fanent avec dépit.
Il est encore devant la porte,
Cette vie étrange est un peu morte,
L’attente est longue et il s’ennuie,
Même le gros chat s’est enfui,
Il n’a maintenant plus d’amis,
Et c’est lui qui a vieilli.
Mais où pourrait-il aller ?
Tous ses souvenirs sont là,
Dans cette maison où il est né,
Au coin du feu près du gros chat,
Il ne saurait pas où aller,
Personne comme lui à rencontrer.
Maintenant il tremble, il a froid,
Dehors il pleut, il ne sait pas,
Si demain il verra l’au-delà.
Il continue à espérer,
Que quelqu’un pour lui viendra,
Et le prendra pour l’emmener.
Il y a du mouvement dans les branches,
Il regarde dans cette direction,
Il se lève, les main sur les hanches,
Il se pose beaucoup de questions,
Un être sort du buisson,
Voit son reflet et fait un bond.
Il court dans sa direction,
L’autre est désorienté,
Trempé il veut s’abriter,
Regarde l’autre dans les boutons,
Ensemble ils n’ont plus peur de demain,
Les deux amis prennent le chemin.
Non-conformité
Il est seul,
Assis sur sa chaise,
Au fond de sa classe,
Pleine de camarades.
L’ennui gagne le monde c’est vrai,
Regarde l’espoir dans cet être,
Espérant voir un jour renaître,
Ce que plus personne ne connaît.
Il regarde par la fenêtre,
Il se prend la tête,
Comment l’humain a-t-il pu,
détruire un monde parfait ?
Les collines vertes ont laissé place,
à un désert fait de béton,
Les animaux n’ont plus leur place,
Dans ce monde dénué d’émotions.
Alors soudain il pousse un cri,
Tous les autres se retournent,
« Que peut-on faire ? ; demande-t-il,
On détruit le monde à vue d’œil ! »
Et loin de là, entendant ça,
Une graine donne le La,
Et tout se suit, elle bouge enfin,
Cet espoir n’est donc pas vain !
Quand il sort de l’école,
Il se met à marcher,
Vers le lointain horizon,
« Ma maison n’est pas ici »
Alors que l’espoir se rapproche,
La graine grandit et casse la roche,
Qui de toutes pièces fut créée,
Par ces assassins des prés.
Maintenant il court il s’enfuit,
Il ne veut pas se retourner,
Les autres le traitent de fou,
« Suivez-moi donc, vous verrez bien ! »
Soudain, il s’arrête de courir,
Voyant ce qui n’est pas un souvenir,
Cette couleur qui a germé,
Dans cette drôle de conformité.